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Soins des oiseaux exotiques

Soins des oiseaux exotiques

L’adoption d’un oiseau n’est pas à prendre à la légère, car malgré le fait qu’il soit gardé en cage, il nécessite beaucoup d’attention. On doit d’abord se demander quel type d’oiseau nous intéresse, selon son apparence, son comportement, son espérance de vie et son coût à l’achat. Ensuite, il y a plusieurs informations que vous devez connaître pour que votre oiseau soit des plus heureux et en santé. Vous découvrirez ici-bas les informations de base nécessaires concernant l’alimentation et les soins de votre oiseau. Et surtout, n’hésitez pas à demander conseil à votre vétérinaire !

Cette section porte sur les soins à apporter à votre oiseau et les éléments à connaître afin de lui fournir un environnement adéquat.

Alimentation

La diète doit être composée principalement de moulée. L'avantage de la moulée, contrairement au mélange de graines, est que chaque croquette contient tous les nutriments dont votre oiseau a besoin, y compris ceux qui goûtent moins bon. Lorsque l'oiseau mange un mélange de graines, il choisit les graines les plus délicieuses (et malheureusement les plus grasses et les moins nutritives) et délaisse celles qui apportent le plus de vitamines. Ainsi, les oiseaux nourris uniquement avec un mélange de graines développent une carence en vitamines se traduisant par un bec dénué de poudre, un plumage terne, une sensibilité accrue aux infections respiratoires et des maladies hépatiques. Comme toute bonne chose, la moulée a ses défauts : une diète basée uniquement sur la moulée favoriserait les troubles rénaux. Ainsi, il convient d'offrir une diète composée de 50 % de moulée, 30 % de céréales et germinations, puis des fruits/légumes et noix variées en complément. Parmi les moulées de qualité supérieure, on retrouve entre autres Lafeber et Harrison. Pour les céréales et germinations, il faut mélanger une sorte de céréale avec une sorte de légumineuse. La recette pourra être congelée en portions individuelles et, au moment de servir, on y ajoutera une source de protéines. Voici quelques exemples :

  • Céréales : Riz brun entier (cuit une heure), pâtes à grains entiers cuites, germe de blé, son d'avoine, orge mondé (trempé une nuit et cuit).
  • Légumineuses : Pois chiches, lentilles, pois verts et pois jaunes concassés (trempés une nuit et cuits al dente).
  • Légumes : Piment, brocoli, carotte, épinard, etc.
  • Protéines : Fromage faible en gras, yogourt faible en gras, œufs bien cuits, viande bien cuite, tofu, noix.

Vous pouvez offrir à votre oiseau une recette de céréales/légumineuses une fois par jour, tout en prenant soin de la laisser à sa disposition pour une heure maximum (risque de croissance bactérienne/fongique). Profitez-en pour l'offrir à l'heure des repas en votre compagnie. Manger est un acte social qui fait partie intégrante des interactions dont Coco peut profiter, alors faites-le participer (voir comportement) !

La clé du succès dans l'alimentation de votre oiseau est la diversité. Vous devez varier au maximum les aliments offerts à votre oiseau dès son plus jeune âge. Vous pourrez ainsi briser la routine ennuyante de ses journées en cage en y dissimulant chaque jour différents fruits et légumes (voir la section  « foraging »), tout en lui apportant toute une variété de nutriments essentiels ! Les noix ne devraient être offertes qu'en gâteries ou cachées dans la cage (voir la section « 'foraging »). Attention, il existe des aliments toxiques pour votre oiseau :

  • Chocolat
  • Avocat
  • Thé et café
  • Alcool
  • Persil (possible, non confirmé)
  • Famille des alliums : ail, oignon, ciboulette, échalote, poireau (possible, non confirmé)
  • Aubergine
  • Patate crue

Il va de soi que tout aliment particulièrement salé ou gras (croustilles, frites, viandes froides, fromages riches, boissons gazeuses, jus de fruits avec sucre ajouté) est à proscrire. Petit conseil : en règle générale, les oiseaux aiment particulièrement les agrumes !

Soins

Votre oiseau doit prendre un bain minimum une fois par semaine. Il peut le faire dans un évier (avec ou sans eau qui coule) ou dans la douche avec vous ! L'idéal est de le laver en avant-midi ou en après-midi. Évitez les fins de journée car il fait généralement plus frais et votre oiseau aura moins de temps pour sécher avant sa nuit de sommeil. S'il fait froid (hiver), vous pouvez le sécher grossièrement au séchoir à la température et à l'intensité la plus basse. Prenez l'habitude de l'assécher avec une serviette; emmitouflez-le comme un bébé et séchez-le en lui parlant doucement. Ainsi, il associera la serviette à une activité agréable et il sera plus aisé chez le vétérinaire de l'examiner dans sa serviette sans l'effrayer.

La taille d'ailes est à éviter le plus possible chez nos oiseaux. Tailler les ailes de votre oiseau, bien que non douloureux, équivaut à l'amputation des 2 jambes chez l'humain, puisque ceci réduit de beaucoup sa mobilité. Voler est son moyen de se déplacer, d'entrer en contact avec vous lorsqu'il vous perd de vue, de s'échapper en cas de danger. Le priver de tout cela favorise l'apparition de troubles du comportement tels que le picage, les vocalisations incessantes, les morsures, etc. Par contre, il existe des situations où la coupe d'ailes est sécuritaire. Par exemple, si vous avez des enfants à la maison qui entrent et sortent souvent et que vous craignez que l'oiseau ne s'échappe de la maison. Si votre oiseau a la malencontreuse habitude de voler près du fourneau et que vous craignez qu'il ne se brûle, on peut envisager la coupe d'ailes. Toutefois, faites-le uniquement en dernier recours. La présence d'autres animaux à la maison ne devrait pas motiver cette action; il est possible de les laisser s'apprivoiser mutuellement. Un chat peut très bien cohabiter avec un oiseau sans chercher constamment à le croquer ! Si vous faites tailler les ailes, faites-le faire par votre vétérinaire ou du moins recevez des instructions précises avant de procéder, car il y a des erreurs à ne pas faire qui peuvent s'avérer fatales. Si vous coupez une plume en croissance (plume de sang), l'oiseau saignera sans cesse et il faudra arracher cette plume sans casser les os de votre oiseau. Une taille de plumes exagérée peut même empêcher votre oiseau de planer et, s'il tombe de haut, il ne pourra pas amortir sa chute et risque de se fracturer une aile ou une patte. Il convient donc de vous en remettre à votre vétérinaire qui pourra tailler les ailes pour vous ou vous montrer comment le faire adéquatement.

La taille de griffes doit être faite aux deux semaines environ. Il convient de limer les griffes de votre oiseau et non pas de les couper. L'oiseau utilise la longueur de ses griffes pour se stabiliser dans son environnement et s'agripper pour éviter de tomber. Ainsi, vous pouvez utiliser une lime à ongles chez les petits oiseaux ou un Dremel chez les plus gros. Il est préférable d'être 2 personnes pour réaliser la taille de griffes : une personne lime les griffes, l'autre tient l'oiseau et le distrait.

La taille de bec n'est pas faite de routine. Normalement, l'oiseau use son bec en mangeant ou en faisant du « 'foraging ». Toutefois, certaines malformations congénitales peuvent affecter nos compagnons et dévier leur bec, empêchant chaque partie de s'user au contact de l'autre. II est donc nécessaire dans cette situation de consulter un vétérinaire pour rétablir la forme normale du bec. La fréquence varie selon chaque cas, vous êtes les mieux placés pour en juger.

Il est essentiel de peser votre oiseau minimum une fois par semaine à l'aide d'une balance numérique à nourriture. Le poids de votre oiseau est le meilleur indice de son état de santé. S'il perd du poids, vous devez porter attention à son alimentation et consulter votre vétérinaire dans les plus brefs délais afin d'effectuer un examen de santé complet. Comme nous l'avons mentionné plus tôt, les oiseaux cachent de façon très habile la maladie et il se peut que la seule variation détectable chez lui en début de maladie soit la perte de poids.

Conservez un journal dédié à votre oiseau dans lequel vous pourrez noter le poids chaque semaine, quand ses mues ont eu lieu et, s'il a été malade, quand et ce qu'il a reçu comme traitement. Placez-y une photo de lui de face et de côté prise à chaque 6 mois (parfois on s'aperçoit de changements seulement en comparant avec des photos !).

Finalement, n'oubliez surtout pas de passer du bon temps avec votre oiseau! Plus vous mettrez d'efforts à le rendre heureux, plus il vous comblera !

Comportement des oiseaux

Dans la nature, le perroquet s'adonne principalement à trois activités : chercher la nourriture, socialiser avec son groupe et se toiletter.

Malheureusement, la réalité à la maison est bien différente. La plupart du temps, le perroquet vivra sans autres compagnons de son espèce, rendant les interactions sociales malheureusement très rares. Votre oiseau s'en remet donc aux deux autres activités mentionnées. Nous avons la malencontreuse habitude de tout préparer pour notre oiseau afin de nous assurer que tout sera à sa portée, y compris la nourriture. Nous lui coupons ses fruits en petits morceaux, nous lui enlevons la peau de banane et nous lui offrons le tout dans un bol, prêt à avaler. Cette bonne intention n’est pourtant pas ce qu’il y a de mieux pour votre oiseau ! Qu'en est-il de la recherche de nourriture ? Pas besoin de chercher, la nourriture est facilement accessible ! Ainsi, tout ce que Coco aura à faire le jour pendant votre absence (huit heures en moyenne, selon l'horaire de travail typique) c'est de se toiletter. Résultat : il exagère dans son toilettage, abîme ses plumes ou se les arrache, il fait du PICAGE ! C'est malheureusement le problème le plus souvent rencontré chez les perroquets vivant en captivité et, lorsqu'on remet en perspective leur emploi du temps, on comprend facilement pourquoi ! Voici quelques trucs qui permettront d'éviter cette catastrophe.

1. Interactions sociales :

  • Maximisez les interactions avec votre oiseau; vous êtes son seul ami, impliquez-le dans votre vie de tous les jours. Amenez-le avec vous lors des repas, prenez votre douche avec lui (il en profitera pour se laver lui aussi !) ou sortez-le pour faire vos courses (toujours avec un harnais !). Écoutez la télévision avec lui, vous pouvez même troquer vos films d'action pour des films de famille à l'occasion : il adorera ! Si votre travail vous le permet, pourquoi ne pas installer une cage près de votre bureau pour qu'il vous tienne compagnie durant la journée ?
  • Jouez avec lui : vous seriez étonnés de ce que vous en tirerez, et lui de même ! Vous pouvez jouer à la cachette; beaucoup d'oiseaux aiment aussi danser ou imiter des bruits particuliers. Vous pouvez lui acheter des jouets pour enfants de moins d'un an de type Fisher Price; tout en bruits et en couleurs, ce jouet l'occupera pendant un bon moment et développera ses aptitudes à l'apprentissage.
  • Présentez-le à un maximum de personnes. Plus il sera habitué d'interagir avec des inconnus, plus il sera confiant et moins vous aurez de difficultés à recevoir de la visite à la maison. Assurez-vous toutefois que la personne est bien à l'aise avant de lui présenter votre oiseau; ces derniers peuvent ressentir la crainte des gens et avoir peur à leur tour, combinaison souvent dangereuse.
  • Apprenez-lui des commandes : « hop » pour monter sur votre main, « bonne nuit » au coucher, « manger » lors des repas, « non » EN SPÉCIFIANT ce qu'il ne doit pas toucher… sinon ce non ne veut rien dire ! Ainsi, vous pourrez appliquer une certaine constance dans vos échanges mutuels, ainsi qu'une fermeté et des règles lors de vos interactions.
  • Laissez-lui la télévision ou la radio avant de partir au travail.

2. Le « foraging »

Ce terme désigne la recherche de nourriture, tout travail ayant pour objectif d'avoir de quoi se mettre sous le bec...comme dans la nature ! Plusieurs options s'offrent à vous : Cachez des morceaux de fruits/légumes/noix dans des boules de papier et attachez-les partout dans la cage, y compris aux endroits difficilement accessibles.

  • Offrez-lui des fruits entiers : banane avec sa peau, quart de melon d'eau ou de citrouille, grappe de raisins. Plus cela fait des dégâts, plus c'est amusant...pour lui !
  • Placez une boîte de carton propre (ex. : boîte à chaussures) dans sa cage et placez des retailles de papier dans le fond. Ensuite, cachez-y des noix !
  • Lorsqu'il aura compris le principe, augmentez le niveau de difficulté : recouvrez son bol de moulée de papier et fixez-le avec du papier collant ! Cachez sa collation dans une petite boîte de carton. Offrez-lui des petites boîtes de céréales entières et fermées de type Rice Krispies, Frosted Flakes (brassez-la devant lui pour qu'il comprenne qu'il y a quelque chose dedans).
  • Coincez des morceaux de nourriture dans des tubes en carton, il devra travailler pour mériter sa surprise !

Cage

La cage de votre oiseau doit être conçue en acier inoxydable et dépourvue de métal galvanisé, de zinc, de plomb ou de cuivre. La taille idéale varie selon l'espèce d'oiseau; bien que l'on recourt à la grosseur de l'oiseau afin de connaître la taille minimale acceptable de la cage, le niveau d'activité de Coco devrait être le principal indicateur de la taille idéale de sa cage. Ainsi, certains oiseaux (conure, perruche, quaker) nécessitent une cage ayant au moins 60-70 cm de largeur, bien qu'ils soient de petite taille. En règle générale, la largeur de la cage doit représenter deux fois la distance entre chaque bout d'ailes lorsque les ailes sont déployées; et la hauteur, deux fois la distance entre la tête et la queue de l'oiseau.

Il est important de varier la taille et la nature des perchoirs :

  • Cordes malléables
  • Différents types de bois

Prenez soin de nettoyer et désinfecter les branches que vous prendrez dans la nature avant de les installer dans la cage de votre oiseau. Évitez les perchoirs en ciment rugueux, ils causent une usure excessive des pattes et favorisent la pododermatite (infection de la peau sous les pattes).

Portez attention à l'emplacement des perchoirs dans la cage; les oiseaux passent la majorité de leur temps en hauteur donc placez son perchoir préféré plus haut ! Disposez les perchoirs de façon à ce que l'oiseau ne puisse pas déféquer dans ses mangeoires. Vous pouvez mettre du papier journal dans le fond de la cage, les frais pour la cage de votre oiseau seront ainsi réduits et vous pourrez bien visualiser ses fientes et détecter toutes anomalies. Les copeaux de bois, la litière pour chat et la litière de maïs sont à proscrire car ils empêchent une bonne visualisation des fientes et produisent beaucoup de poussière, ce qui peut irriter les voies respiratoires de votre oiseau.

Il est primordial de varier les jouets dans la cage de votre oiseau. Imaginez qu'on vous restreigne pendant huit heures par jour dans une pièce avec trois jouets et que ce soient les mêmes pendant un mois ! C'est exactement la réalité de votre oiseau. Il convient de placer deux ou trois jouets dans sa cage sans occuper tout l'espace, ce qui l'empêcherait de se déplacer. Changez ses jouets chaque semaine en effectuant une rotation, les jouets dont il disposait il y a deux semaines seront alors tout aussi amusants qu'ils l'étaient à l'époque ! Modifiez également l'emplacement des jouets afin de chasser l'ennui ! Plusieurs matériaux sont disponibles et adéquats pour votre oiseau :

  • Corde (éviter les longs bouts dans lesquels il pourrait s'entortiller le cou...)
  • Bois
  • Lanières de cuir
  • Papier blanc
  • Rouleau de papier essuie-tout (évitez les rouleaux de papier de toilette plein de bactéries)

Servez-vous de votre imagination ! Les jouets les plus appréciés sont souvent ceux qu'on leur a fabriqués et qui ont coûté le moins cher ! Attention aux chaînes vendues dans les grands magasins, elles contiennent pour la plupart du zinc qui est toxique pour votre oiseau. Il suffit de leur demander une chaîne qui ne contienne pas de plomb, de cuivre ou de zinc. Voici une liste des OBJETS DANGEREUX pour votre oiseau :

  • Pièces de monnaie
  • Lampe de style « Tiffany »
  • Certaines plantes
  • Vitrail
  • Attache à pain (celle qu'on tortille)
  • Poids de rideaux
  • Teinture à cheveux (éviter qu'il toilette vos cheveux si vous les faites teindre !)
  • Teflon

Finalement, l'emplacement de la cage est important. Il ne faut pas qu'elle soit près des fenêtres, des portes ou dans un courant d'air. L'idéal est de la placer en hauteur et de manière à ce qu'un côté de la cage repose près d'un mur, afin de limiter le stress de votre oiseau. La cage doit également être placée dans un endroit où il sera possible de laisser dormir votre oiseau en soirée (comme un enfant, il ne doit pas se coucher tard et doit avoir un minimum de 10 heures de sommeil par nuit !), sans aucun bruit (pas de télévision !) et sans lumière (drap opaque pour recouvrir la cage au complet).

Température ambiante

La température idéale varie entre 18 et 22 degrés Celsius. N'exposez pas votre oiseau en plein soleil et ne le laissez pas près des fenêtres même s'il ne fait pas très froid, il est fragile !

Bon à savoir

Évitez les stimulations sexuelles avec votre oiseau. Certaines actions qui vous paraissent bien anodines peuvent transmettre de mauvais messages, tels que flatter l'oiseau au bas du dos, flatter le bec ou le bas du ventre. Un oiseau qui vous désigne comme partenaire amoureux peut devenir très possessif, voire dangereux, pour ceux qui s'approchent de vous ! Les femelles seront également plus stimulées à pondre des œufs.

Si votre oiseau a pondu des œufs, ne les enlevez surtout pas! L'oiseau recommencerait tout simplement à pondre et pourrait s'épuiser et souffrir de ponte chronique.

Votre oiseau se met à crier le soir, tout seul, sans aucune raison ? Ce sont probablement des cris de localisation. Au coucher, chaque membre d'un groupe d'oiseaux doit signifier qu'il est présent et qu'il va bien avant de dormir. Il ne fait que vous avertir qu'il veut dormir et il vérifie que vous êtes bien là et que vous allez bien. Dites-lui bonne nuit et couchez-le dans sa cage avec son drap.

Voici les signes auxquels vous devez porter attention et qui peuvent indiquer que votre oiseau est malade :

  • Se tient toujours au fond de la cage
  • Plumes ébouriffées sans arrêt
  • Yeux mi-clos alors qu'il a bien dormi
  • Oiseau qui respire le bec ouvert et/ou le cou étiré
  • Oiseau qui fait un mouvement de soufflet avec la queue à chaque respiration
  • Oiseau qui garde les ailes écartées continuellement
  • Oiseau qui garde la tête sous l'aile continuellement
  • Oiseau qui ne chante plus/ne parle plus soudainement

Si votre oiseau présente l'un de ces signes, consultez immédiatement un vétérinaire ! Les oiseaux sont de parfaits cachottiers ! Dans la nature, lorsqu'un membre du groupe est malade ou blessé, il le cache aux autres car ces derniers risquent de l'abandonner, puisqu'il les ralentira et pourrait attirer les prédateurs s'il est blessé. Ainsi, les oiseaux cachent toujours tout signe de maladie; lorsque vous observez que quelque chose ne va pas, c'est que ça ne va pas depuis longtemps déjà et que votre oiseau n'a plus la force de dissimuler son malaise ! Consultez immédiatement !

Ce document résume les connaissances de base nécessaires pour prendre soin d'un oiseau, mais il reste énormément d'informations que vous pouvez aller chercher. Voici quelques sites intéressants :

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